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Maahlox Le Vibeur
Quand on mesure le poids de son absence
Quand on voit et ressens le vide qu’elle créait
Dans la vie aussi violent que la douleur d’un abcès
Fixé au bout du sexe, que certains d’ses mots prennent sens
On comprend enfin pourquoi elle nous rouait autant d’coups
À chaque fois qu’on était dans l’excès
Les mots d’mon lexique sont faibles
Pour rendre hommage à cette femme
Qui pouvait donner son âme, afin de faire de moi un homme respectable
Une pépite d’or dans une dune de sable
Elle m’a souvent dit fils
« Fais attention, les hommes sont des animaux
Car devant un tas d’tune et des entres cuisses te fut ouvert
Peu d’ami sauront rester fiable »
Elle m’a appris les valeurs, à savoir ravaler ma colère
Éviter de sortir les mots à la voler, pour pas blesser ceux j’aime car l’amour c’est du velour
Qu’elle soit éternelle c’est ça qu’j’aurais voulu
Mais le ciel en a décidé autrement
Son absence je la vis comme une maladie sans traitement
Je suis comme un général sans éléments
J’aimerais remonter le temps, pour lui dire ce que je n’ai jamais su dire
« Je t’aime ma petite maman »
L’amour d’une mère (l’amour d’une mère)
Ne s’éteint jamais (jamais, jamais)
L’amour d’une mama, ne s’éteint jamais (jamais, jamais)
L’amour d’une mère (l’amour d’une mère)
Ne s’éteint jamais (jamais, jamais)
L’amour d’une mama, ne s’éteint jamais (jamais, jamais)
L’amour d’une mère (jamais, jamais)
Ne s’éteint jamais (jamais, jamais)
L’amour d’une mama, ne s’éteint jamais
L’amour d’une mère (oh oh)
Ne s’éteint jamais (jamais, jamais)
