Tu m’as connu le coeur dans la brume
Quand l’amour à déserté mon île
J’ai écrit entre le marteau et l’enclume
Je ne suis pas née dans la fortune
Ma seul richesse ma famille, ma coutume
J’ai fais [?] dans mes disques et ma plume
Et tu seras éternel dans mes projets posthume
Les regards ne seront pas unanime
Pourtant fermé les yeux est facile
J’ai fais semblant, j’ai fait face au vent
Mais face au miroir je ne vois qu’un enfant
Vaut-il mieux être anonyme
Je ne sais plus qui m’aime ou qui m’abîme
Que restera-t-il avec le temps (avec le temps)
Yeah, yeah
Je n’invente pas ses mots pour toi
Tu es ma lune je ne vois que toi
Je n’invente pas ses mots pour toi
Tu es ma lune, ma lune et tu m’allume éh
Le passé n’est plus qu’un champs de ruine
Je marche entre les douilles et les ruines
Loin de mon Algerie en exile
J’ai rêvé de son peuple trionfer Amine
La fin n’est jamais comme dans le films
Dans tous les scripts tu seras mon héroine
J’ai cueillis la rose malgré l’épine
Au milieu du salon mon fils me déssine
Non sans toi ma vie serait sans rîme
J’aurais pas tout l’espoir qui m’anime
J’aurais moins d’âme et de sentiments
J’aurais jamais rencontré l’père de mon enfant
Trop de blessure dans l’abime
Si on me censure j’deviens mime
Beaucoup d’amour dans le sang
Coupé le son, je t’aime Naima
Je n’invente pas ses mots pour toi
Tu es ma lune je ne vois que toi
Je n’invente pas ses mots pour toi
Tu es ma lune, ma lune et tu m’allume éh
Je n’invente pas ses mots pour toi
Tu es ma lune je ne vois que toi
Je n’invente pas ses mots pour toi
Tu es ma lune, ma lune et tu m’allume éh
Chacun sa lune, chacun son destin
Chacun sa fortune, chacun de nous à au moins quelqu’un
Qui éclaire sont bitume son numéro
Donne moi ta main, prête moi ta plume
Comme un gaucher, quand rien n’est certain je demande à la lune, a ma lune
Je n’invente pas ses mots pour toi
Tu es ma lune je ne vois que toi
Je n’invente pas ses mots pour toi
Tu es ma lune, ma lune et tu m’allume éh
Chacun sa lune, chacun son destin
Chacun sa fortune, chacun de nous à au moins quelqu’un
Qui éclaire sont bitume son numéro
Donne moi ta main, prête moi ta plume
Comme un gaucher, quand rien n’est certain je demande à la lune, a ma lune